Honduras El savador

Jeudi 13 janvier, aujourd’hui on passe la frontière pour le Honduras. Nous avons décidé d’accélérer un peu le rythme et nous allons traverser le Honduras. En étudiant d’un peu plus près notre itinéraire nous voulons gagner du temps pour le Mexique qui est très grand et où il y a beaucoup de sites touristiques. Nous partons de Las Penitas vers les 9h et arrivons à la frontière de Gasaule vers les 10h30. Nous avons un contrôle du véhicule juste avant et comme souvent c’est de la curiosité. Une fois notre sortie effectuée ainsi que celle d’Icidor nous roulons jusqu’à la douane de l’Honduras. Rapidement nous sommes arrêté derrière une longue file de camion avant un pont. Un douanier nous dit de passer sur la droite pour les passer. Quoi ? Il faut qu’on roule sur le trottoir du pont ? Pour plus de sécurité, je descends pour guider Seb car c’est pas très large. Ça aurait bien value une photo ou vidéo mais sur le coup, on y a pas pensé. Un jeune garçon en vélo veut nous venir en aide et nous guide pour gagner quelques pièces, mais on va rester vigilant car il nous dit que tout est OK. Arrivé presque à la fin du pont, on stoppe Icidor, il y a un arbre et on passe pas dessous !! Heureusement, un camion a laissé un passage suffisant pour qu’on reprenne la route sur le pont mais Seb y va très doucement car le trottoir est un peu haut et je contrôle l’arrière pour que nous puissions tourner sans soucis. La circulation est bloquée en face, on peut terminer de doubler les poids-lourds et se garer. Nous pensions que le plus long serait fait… Une fois garé, tout le monde descend on essaye de se frayer un chemin entre les chauffeurs de camions mais une fois devant le bureau de l’immigration, on nous dit de se mettre dans la file d’attente. On remonte la file et en contournant le bâtiment, on se rend compte qu’elle est très très longue et que ça va prendre du temps. De plus des volatiles circulent dans la queue donc impossible pour moi de rester. Seb reste seul et avec les filles on va dans Icidor. Après 15 minutes d’attente, on sent la température qui augmente, Léontine va apporter sa casquette à Seb et de l’eau. Il n’a pas avancé beaucoup, mais il a quelques informations. Nous sommes pas  arrivés au bon moment car il y a les passagers de 3 bus devant nous. Pendant que Seb continue l’attente, nous allons manger puis pour gagner un peu de temps nous allons voir pour faire réaliser les tests antigéniques aux filles. Nous nous faufillons jusqu’au bureau et sommes accueilli par une infirmière. Elle me demande les passeports des filles, leur prend la température et note sur un papier. Elle me demande mon passeport et je lui dit que je suis vaccinée et lui montre mon certificat de vaccination, elle me prend la température et glisse le papier dans mon  passeport. Je lui dis que mon mari est aussi vaccinés et idem glisse un papier dans le passeport de Seb. Elle me rend les 4 documents et me dit que tout est bon. Euh, et les tests ? Elle me répète que tout est bon. Les filles sont ravies et moi un peu étonnée. On rejoint Seb pour voir son avancé (pas top) et on retourne dans Icidor pour faire le prechequeo en ligne car toutes les personnes dans la file l’ont. Léontine apportera à manger à son papa pendant que je me prends la tête avec ce formulaire. Après un long moment les 4 prechequeo sont enregistrer, nous allons toutes les 3 rejoindre Seb car Icidor est entrain de se transformer en four. Il a un peu progresser. Tout autour de nous, il y a des tas de déchets divers, les gens achètent des boissons pour s’hydrater aux marchands ambulants et les jettent une fois terminées. Ça n’a l’air de choquer que nous même si nous constatons qu’il n’y a aucunes poubelles. Nous voyons les heures passer, la nuit commence à tombée et les filles commencent à fatiguées. On se rend compte qu’elles sont vraiment cool et on leur dit que nous sommes fiers d’elles. La dernière ligne droite est là plus que quelques dizaines de mètres avant de pouvoir rentrer dans le bureau de l’immigration. Il y a toujours des chauffeurs qui arrivent ce qui signifie que le bureau de la douane pour l’importation temporaire du véhicule est encore ouvert ! Éléonore commence à fatiguée donc je la porte dans mes bras et au bout de 10 min, un douanier me fait signe de venir car j’ai un enfant. On passera devant une dizaine de personne c’est déjà ça de gagné. Tout est très rapide après ça. Record battu pour un passage de frontière plus de 7h !! On est tous dans Icidor et on roule jusqu’à une station essence à 50 km de là, la route est très bonne mais nous n’aimons pas rouler de nuit donc tous nos sens son en éveil. J’obtiens l’autorisation du garde pour stationner, il me stipule juste qu’il termine son service à 6h, je comprendrais plus tard pourquoi il me le précise. Tout le monde est HS et on file au lit très rapidement.

Vendredi 14 janvier, 6h02 on toc à la porte. Le garde a terminé son service et désire un petit billet, OK tant qu’on est pas obligé de reprendre la route de suite. On se recouche un petit moment mais le sommeil ne revient pas. Après le petit-déjeuner, on profite du Wi-Fi de la station et on reprend la route pour la frontière avec le Salvador. On y va tôt en espérant que ça soit plus rapide qu’hier. Nous sommes à 60 km du poste de frontière. La sortie est une formalité puis on se gare pour notre entrée au Salvador. Le douanier regarde les passeports et une fois qu’il a identifié tout le monde, une seul personne est autorisée à rester. Puis nous faisons la queue avec Icidor pour réaliser le Tip. Beaucoup d’informations nous sont demandées en plus des renseignements habituels : nombre de cylindres, côté du volant… Un très bref contrôle et il faut aller au bureau de la douane pour finaliser le TIP et celui-ci se trouve à 5 km et il faut emprunter un bout de piste pour y accéder. A 12h tout est terminé, on s’arrête quelques kilomètres plus loin à l’ombre pour déjeuner. Nous irons à une lagune à moins de 50 km pour notre premier bivouac et avec une possibilité de recharger la bouteille de gaz au passage. Celle d’Argentine est vite remplie mais pour la française, il n’a pas l’embout qui s’adapte. Nous arrivons à la lagune Jovotal mais l’environnement ne nous plaît pas, on prend le temps de regarder et nous allons à la Laguna Alegria. La dernière partie pour atteindre la lagune monte beaucoup et sur une route faite en pierre, j’allais poser la question à Seb pour savoir s’il pense que l’accès est possible mais il s’engage sur la route donc c’est qu’il n’y a pas de problème. Je suis un peu tendue pour effectuer les 2,5 km mais tout se passe bien. Nous avons eu raison de rouler un peu plus car la lagune est vraiment très belle. Nous sommes en pleine nature, presque seul, cela nous avait manqué ce genre de bivouac.

Samedi 15 janvier, nous faisons le tour de la lagune et observons par endroit l’ébullition encore présente du cratère. Puis les filles vont s’amuser dans les arbres. Nous mangeons dehors c’est très agréable puis en milieu d’après-midi nous reprenons la route pour la capitale San Salvador. Il n’y a pas beaucoup de possibilités pour stationner alors nous choisissons le parking de l’hôtel Intercontinental. Le vigile me demande d’aller voir Senior Paz le gouvernant en chef. Celui-ci est très gentil et m’explique qu’il est content de recevoir des voyageurs. Le parking est celui des camions de l’hôtel, nous pouvons nous brancher, les sanitaires sont à notre disposition… Quand je lui demande le prix, il me dit que c’est une donation symbolique de 20 $. Euh symbolique un peu chère non ? Il me parle de l’application Ioverlander et je lui montre que les derniers voyageurs n’avaient payé que 10 $. On est tous d’accord, on se gare et on prévoit notre visite pour demain. La nuit sera bruyante, le calme de la lagune est bien loin.

Dimanche 16 janvier, après l’école on va visiter le musée anthropologique. Puisque nous pensons ne pas rester très longtemps au Salvador, nous n’avons pas acheté de carte sim locale du coup on negocie avec les filles, on commande un Uber via le WiFi de l’hôtel et le retour sera à pied, il y a environ 5km. Le musée est gratuit est très bien organisé avec différentes salles qui montre l’époque pré colombienne, l’époque coloniale et l’époque contemporaine. Il y a des salles dédiées à l’agriculture, les religions, le peuplement humain… Lorsque nous sortons il est l’heure de manger, nous nous mettons à la recherche d’un restaurant mais les choix qui s’ouvrent à nous ne sont pas nombreux. Il y a qu’une succession de restauration rapide mais pour le goûter nous savons où nous le prendrons : à la boulangerie française Le croissant. Mais pour digérer un peu et pouvoir bien apprécié les gâteaux nous allons au marché artisanal. Les filles choisissent un bracelet, nous trouvons notre sticker et Léontine une jolie paire de boucles d’oreilles. Il est l’heure du goûter direction la pâtisserie, Éléonore choisi un éclair au chocolat, Seb et Léontine une tarte au citron et pour ma part un gâteau 3 chocolats. On se prend 4 croissants pour demain matin et on retourne à l’hôtel. En y arrivant, nous payons une nouvelle nuit car demain c’est lundi et les sites touristiques que nous voulons faire sont fermés.

Lundi 17 janvier, après les bons croissants au petit déjeuner, on part visiter le centre historique comme hier en Uber pour le trajet aller. Il y a beaucoup de travaux notamment la bibliothèque nationale qui est en pleine reconstruction et le projet final sera très moderne a côté du Palais national et de la cathédrale et non loin du théâtre national. La police est très présente en centre-ville et il y a beaucoup de mendicité cela tranche avec le quartier Colonia San Benito que nous avons visité hier. Nous retournons tranquillement à l’hôtel en passant dans le marché qui vend exclusivement des vêtements puis nous faisons un arrêt dans un magasin qui imprime des affiches, des stickers… Le gérant peut nous imprimer tous les drapeaux en stickers. Génial, nous faisons la liste et aurons tous nos stickers identiques pour l’Amérique Centrale et du Nord. Nous n’avions pas encore pris le temps de coller les autres et surtout nous aurons celui du Honduras qui nous aurait manqué. Après le repas de midi dans Icidor, nous prenons le temps de passer un appel à ma sœur et sa petite famille pour avoir des nouvelles. Puis on commence à ranger pour prendre la route direction les ruines de Joya de Ceren avec un arrêt pour faire quelques courses. Lorsque nous allions partir, un camping-car français se gare devant  la barrière pour demander l’autorisation de se stationner. La discussions s’engage avec Mat le papa vite rejoint par sa femme Cinta et leur fille de 7 ans. Éléonore est ravie de rencontrer une copine de son âge et inversement. Les 3 filles vont jouer très rapidement dans Icidor. Il nous est difficile de ne pas rester une nuit de plus pour faire plus ample connaissance et échanger sur le voyage sachant qu’ils viennent du continent Nord Américain. Les parents dans leur camping-car et les filles dans Icidor. La soirée se terminera à plus de minuit et Éléonore ne comprend pas pourquoi elle doit aller se coucher.

Mardi 18 janvier, le réveil se fait comme d’habitude vers les 7h30 mais bizarrement ça ne traîne pas au lit. Une fois prête c’est reparti pour le jeu avec la copine. Pendant ce temps on échange des dossiers école, films, documentaires puis il est déjà l’heure de déjeuner alors on partage le repas dans Icidor. On prépare doucement les filles à la séparation car cette fois on va reprendre la route. Cette rencontre était très sympathique, on leur souhaite bonne route et de pouvoir atteindre le continent Sud américain. Nous avons moins de 40 km à faire mais la circulation est très ralenti pour sortir de San Salvador car un accident a eu lieu.  Après un arrêt au supermarché obligatoire nous optons  pour une station service car il fait nuit quand nous reprenons la route et nous n’aimons pas rouler de nuit. Le garde nous autorise le stationnement sans contre parti c’est parfait.

Mercredi 19 janvier, on va visiter le site de Joya de Ceren. Le site a été rénové il y a 2 ans et une partie à été financer par la France. C’est le seul site du Salvador classe au patrimoine de l’Unesco. C’est le Pompei de l’Amérique. Les maisons ont été recouverte sous 4 à 6 mètres de cendres, pétrifiant le village en 590. Nous débutons par le musée qui a toutes ses explications en français puis nous allons avec une guide voir les habitations qui ont été excavées. Il est presque midi lorsque nous terminons la visite, je débute le repas et nous voyons arriver Jean ( le voyageur retraité en solo rencontré au Nicaragua). Nous partageons notre repas et découvrons que nous avons le même itinéraire pour les prochains jours. Nous le retrouverons ce soir après qu’il est visité le site, nous prenons la route pour le parc Cerro verde à 50 km. Nous payons l’entrée et une fois garé, les filles y découvrent des points de vue dans les arbres, un parc de jeu… Nous observons le coucher de soleil prêt du volcan Izalco. Nous invitons Jean à manger dans Icidor des lasagnes. On profite d’être en altitude (2000m) pour utiliser le four !!

Jeudi 20 janvier, pas d’école aujourd’hui mais ascension du volcan Santa Ana. Le départ est à 9h en groupe, avec des guides et la présence de la police du tourisme. La randonnée est de 12 km et nous grimpons jusqu’au cratère du volcan qui se situe à 2365 m d’altitude. Nous pouvons y observer une très belle lagune. La randonnée aura durée 4 heures et une fois à Icidor, les filles vont s’amuser dans les arbres miradors : même pas fatiguées. Je commence à préparer le déjeuner quand Jean m’interompt pour me dire qu’il nous invite à manger au restaurant du parc. Nous mangeons de très bon hamburgers avec une limonade. Nous trainons un peu à table, les filles elles sont réparties jouer. En rentrant vers Icidor Seb voit que la roue arrière gauche est un peu dégonflée, une vis est plantée dans le pneu. Seb regonfle avec le compresseur et on verra demain si ça tient. Demain la journée sera sportive enfin plus pour Seb, Léontine et Jean.

Vendredi 21 janvier, après l’école, Seb regarde la roue mais il est préférable d’installer la roue de secours. On verra demain pour la faire réparer. A 11h Léontine et Seb se rapprochent des guides pour effectuer l’ascension du volcan Izalco mais pour le moment il ne sont que 3 avec Jean. Il y a un nombre minimum pour que la police veuille les escorter. Finalement, ils seront 9. Je laisse ma plume à Léontine pour vous narrer l’ascension : Au début nous avons eu une explication sur le déroulement de l’ascension. La randonnée commence par la descente du volcan où on est garé pour arriver au pied du volcan Izalco. Le sentier pour commencer la montée débute sur le sentier de la coulée de lave. La montée est un peu plus difficile, de temps en temps on passe devant des fumerolles et on sent bien la chaleur. On est tout en haut du cratère en moins de 2h, moi et papa on est les premiers du groupe. On mange les sandwichs que j’ai préparé ce matin avec des chips. On a pris quelques photos et le guide voulait déjà qu’on reparte ! On est redescendu tout en bas du volcan, je me suis beaucoup servi d’un bâton pour m’aider à descendre. On a mangé notre banane pour se donner des forces pour la remontée du volcan Cerro verde qui est tout en escaliers !! Nous sommes encore arrivés les premiers ! Nous sommes allés tellement vite que Éléonore et maman étaient sur le mirador pour nous prendre en photo entrain de descendre. Je reprend ma plume, pendant leur randonnée, avec Éléonore nous avons fait une petite randonnée dans le parc Cerro verde. Nous étions passé hier, devant les panneaux lors de la randonnée pour le volcan Santa Ana. Mais la porte est fermée, nous cherchons un autre passage mais idem. Nous allons alors nous renseigner auprès des guides : la visite est gratuite mais il faut être accompagné. C’est parti pour 40 min de marche avec des explications sur le Cerro verde. Nous pouvons y observer au loin un marrat et quelques oiseaux et le lac Coatepeque. Nous lui demandons a quelle heure nous pourrons observer Léontine et Seb depuis le mirador : pas avant 15h30 ! OK on va manger et on prépare un gâteau pour le goûter qui fera plaisir à tout le monde. Puis je récupère le gros zoom et on se rend au mirador. Mais Léontine a déjà tout dit, ils ont été super rapide et on les a raté !

Samedi 22 janvier, on se fait réveiller et il est à peine 7h. Il faut qu’on se gare ailleurs car des chapiteaux sont entrain d’être installés pour le week-end. On se gare de l’autre côté du parking et on leur signale que nous partons dès que nous serons prêt. Jean aussi doit se déplacer. On ne traîne pas, on range pour pouvoir reprendre la route, Seb monte la route à réparer dans Icidor, on fait le plein d’eau et direction la ville de Santa Ana toujours en compagnie de Jean enfin on s’y retrouvera car il nous faut faire un arrêt dans un supermarché et pour la roue. Pour cette dernière c’est une formalité, une rustine et c’est répartie. La ville de Santa Ana est surchargée, le point que nous avions vu est en plein centre ville et après quelques temps d’attente nous avons l’autorisation de rester. On mange dans Icidor et nous partons explorer la ville. On capte un peu de Wi-Fi sur la place et on a des nouvelles de Jean nous disant qu’il n’a pas pu se stationner et ce rend sur les sites archéologiques tout près d’ici. La ville n’a pas grand intérêt pour nous, les sites que nous aurions aimé visiter sont fermés et notre lieu de stationnement n’est vraiment pas top. On va rejoindre Jean vers Casa Blanca mais pas de vehicule sur le parking, on tente l’autre site Tezumal un site Maya mais là non plus. Nous allons visiter ce dernier, il a été construit entre l’an 300 et 900. Nous visitons le musée puis faisons le tour des ruines archéologique. Une cérémonie à lieu en même temps que nous visitons. Puis nous apercevons Jean qui débute la visite. Nous décidons de faire un dernier bivouac ensemble car nous passons la frontière pour le Guatemala dimanche. Nous optons pour les thermes de Alicante. Nous pouvons profiter des thermes très tardivement et jusqu’à 10h demain. Il ne faut pas longtemps aux filles pour mettre leur maillots, il y a plusieurs bassins c’est très agréable. Une soirée dans Icidor à parler voyage et avec Jean qui est sur les routes depuis plus de 10 ans il y a beaucoup d’anecdotes.


2 réflexions sur “Honduras El savador

  1. SALUT LES VOYAGEURS merci pour ce blog de mymy bien aidée par Léontine super ma grande. Donc vous voilà au Guatemala à l’heure où je vous écris. ici tout va bien à part que c’est l’hiver et qu’il ne fait pas chaud… on n’est pas prêt à enfiler les maillots de bains…sauf pour les Iléades. Le Covid est toujours bien présent, Pauline en a fait les frais ainsi qu’Emma, les autres tiennent le coup….donc nous restons au chaud. Phil est parti à la gym à boisset avec Eliane, quant à moi je suis allée à la salle de sport à Montrond dimanche matin et je vais y retourner demain mardi, j’essaie d’y aller 3 fois/semaine et cela fait bien du bien. Pour le théatre ils essaient de répéter, pas facile avec ceux qui sont cas contact et Hervé qui a eu le COVID, donc je joue les doublures avec fifi et Eliane. je pense que l’on pourra ENFIN jouer cette année.
    Mamie Marie lou vous fait de gros bisous… Elle a sa 1ère opération des yeux ce jeudi 3.02.2022, elle se fait un peu de souci mais on va l’emmener avec maman c’est en ambulatoire et ensuite retour à l’appartement et normalement le 2ème œil 15 jours après… Bon continuez bien votre périple, faites le plein de souvenirs …. On vous fait de gros gros bisous. Sans COVID….

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